Nouvelles aventures éditoriales pour la maison d’édition étudiante l’Apprentie

À quel point un secret peut-il ronger et faire basculer la vie d’une personne ? D’une douceur obstinée, Fanny a toujours suivi les conventions imposées par sa mère. Lorsque celle-ci meurt, une mystérieuse lettre éveille chez Fanny le désir d’échapper à son passé. Si, dans les plaines de Normandie, il est courant pour les femmes de ployer sous le joug, Fanny garde l’espoir de pouvoir un jour s’en libérer et de trouver enfin ce qu’elle recherche depuis toujours : l’amour.

Avec ce roman, œuvre de la journaliste, traductrice et écrivaine Marion Gilbert, on redécouvre une forte personnalité, qui a lutté, milité et fait entendre sa voix pour défendre les droits de chacun, allant jusqu’à arborer l’étoile jaune pendant la guerre en signe de protestation. C’est en 1925 qu’elle publie son œuvre majeure, Le Joug, finaliste du prix Femina, qui passionne autant qu’il fait scandale. Cette même année, elle prononce un discours sur le féminisme qui marque les esprits.

En réunissant ces deux textes mémorables qui restent d’une forte actualité, les éditions L’Apprentie désirent remettre en lumière cette auteure et son œuvre.

Les plantes sont-elles sociables ? Les planètes parlent-elles entre elles ? Est-il possible de construire un tunnel sous la mer pour relier deux terres ? Au Club des Toqués, chacun écoute le récit de ses membres avec attention. Tous les soirs, ces messieurs aux métiers divers se réunissent pour exposer leurs élucubrations les plus farfelues. Entre réflexions philosophiques et expéditions étranges, les rêves prennent vie dans un petit appartement.

Henri de la Blanchère, un auteur du XIX^e siècle aussi connu que le sipo matador, imagine le Club des Toqués en mêlant le récit au théâtre et nous transporte dans un univers aussi haut en couleurs que ses personnages.

Une histoire loufoque et absurde, dont le voyage émerveille à coup sûr ! Poussez la porte du Club des Toqués et laissez-vous embarquer dans leurs aventures…

Qui est Alarico Cassè ?

Personne à ce jour n’a trouvé la réponse à cette question tant la vie de l’autrice, dont le véritable nom serait Giuseppina Delle Case, est nimbée de mystères. Découverte par Giorgio Bassani puis encensée par Dino Buzzati, elle disparaît de la vie publique après la parution d’un unique recueil de nouvelles en 1963 en Italie.

Dans ces pages se succèdent, entre autres : une femme attendant impatiemment son mari qu’elle se plaît à imaginer jaloux ; un homme incapable de traverser la Piazza del Popolo à Rome ; la douleur de la mort injuste d’un enfant ; des parents déboussolés par une question innocente. Sept histoires du quotidien, tantôt fantaisistes, tantôt tragiques, dans lesquelles l’autrice se distingue par son goût de l’insolite et un talent rare pour sonder l’être humain.

En amour, il existe bien des manières de se fêler.
Francis Scott Fitzgerald, dont on redécouvre ici le talent de nouvelliste, nous le prouve dans les six textes de ce recueil inédit où l’amour prend des formes à la fois splendides et désespérées.
Les personnages de ces nouvelles luttent, se fêlent, mais espèrent toujours. On pénètre alors avec Caroline, Lew, Dexter, Sara, Killian et les autres dans un univers dur et hasardeux qui doit beaucoup à la vie aventureuse que l’auteur de Gatsby le magnifique a vécue avec sa fougueuse épouse Zelda.
Six récits poignants où l’amoureux providentiel, la garçonne sous emprise, la fille d’escroc et l’amante inconstante jouent au jeu de l’amour et du hasard, quand il est parfois trop tard ou trop tôt pour s’aimer.