Le Service culture vous propose de découvrir sa programmation pour l’année universitaire 2024-2025 : spectacle vivant, expositions, concerts, festivals, ... Ouvert à toutes et tous, les rendez-vous sont gratuits sauf mention contraire. Renseignez-vous !
Les événements de la programmation culturelle sont sur inscription.
Pour les étudiant·es et le personnel : suivez ce lien - lien externe.
Pour les personnes extérieures : suivez ce lien - lien externe.
Maison des arts
Consacré au dessin, à la bande dessinée et au livre jeunesse, la troisième édition du Festival Gribouillis - lien externe fait escale sur le campus de Pessac à travers une série d’activités et une exposition mettant à l’honneur les étudiant·es du Master illustration.
Site de Pessac et IUT Bordeaux Montaigne
Du lundi 16 au mercredi 25 septembre 2024, c'est la rentrée culturelle de l'Université Bordeaux Montaigne ! Profitez de la programmation où se rencontrent spectacle vivant, concert improvisé, tatouages rigolos, batucada et deux soirées de présentation de la saison culturelle et des ateliers de pratique artistique. Gratuit et ouvert à tou·tes. Certains rendez-vous sont sur réservation.
Villa Valmont (Lormont)
Par la cie Le Théâtre Variable 2.
En 2019, Keti Irubetagoyena propose à la romancière Olivia Rosenthal de travailler sur le verbe « manger ». Rapidement, elles décident d'aborder le sujet sous un angle particulier : non pas l'ingestion de nourriture, mais son éjection, en s'intéressant à la défécation et à sa banalité extraordinaire. Après trois ans de recherche et des heures d'entretiens, les deux artistes se retrouvent sur scène pour inviter le public à réfléchir à ce geste tabou.
Le commun des mortels, à mi-chemin entre séminaire littéraire, master-class de bien-être et duo de clowns, interroge le rapport complexe que notre société entretient avec son corps, individuel et collectif.
Durée : 1h.
Université Bordeaux Montaigne
Par Rouge Hartley et Paul Peinture.
Dans le cadre du festival des Vibrations Urbaines organisé par la Ville de Pessac, Paul Peinture invite l'artiste bordelaise Rouge Hartley pour un travail collaboratif. Tous deux interviendront sur les murs de l'université durant une semaine.
Vernissage : 17 octobre, 18h.
Salle de spectacle Maison des arts.
Par la cie IWA.
Venez découvrir Ma république et moi, la pièce de théâtre d'Issam Rachyq-Ahradla. Il y dresse le portrait de sa mère, une femme sans histoire qui subit le racisme et l'incompréhension.
Durée : 1h.
Université Bordeaux Montaigne
Habiter un espace signifie se confronter à son histoire sociale et à celle des objets qui le composent, tout en répondant à nos besoins de protection et de stabilité. Cette expérience, ancrée dans la sensorialité du corps, devient une forme symbolique de l'habitation, où l'espace et le vécu se mêlent pour créer un lieu de vie et d'ancrage dans le monde.
Salle de spectacle Maison des arts
Gorgones met en scène une émission de téléréalité et questionne la représentation des femmes, de leurs corps, au travers de deux prismes : le regard et l’intimité. Qui pourraient être les gorgones d’aujourd’hui ? Nous avons pensé aux candidates de téléréalité et aux influenceuses, ces femmes exposées dans leur intimité et “pétrifiées” par cette surexposition. Dans la mythologie grecque, c’est la gorgone Méduse qui a le pouvoir de pétrifier celleux qui croisent son regard, ce qui la rend monstrueuse aux yeux de toustes. On peut considérer cela à l’inverse : ce serait le regard des productions et des téléspectateur·ices qui pétrifient les candidates et les emprisonne.
Sortie de résidence : 4 novembre, 18h30, salle de spectacle Maison des arts. Durée : environ 40 minutes.
Manifestation culturelle organisée par le Centre Montaigne, le Moi(s) Montaigne propose chaque année un ensemble de rencontres et d’événements liés à un thème important dans l’œuvre de Montaigne.
Du 12 au 26 novembre a lieu la Quinzaine de l'égalité et de la diversité à Bordeaux et sa métropole pour lutter contre les discriminations. Dans ce cadre, 2 rendez-vous sont proposés :
Noires mines Samir nous raconte la malédiction qui poursuit Samir, sixième enfant d’une famille d’immigrés algériens qui découvre l’amour et son homosexualité en même temps que la colle à rustine. À la veille de ses 50 ans, Samir est visité par les fantômes et les chansons de sa jeunesse perdue et se voit offrir une nouvelle adolescence. Il doit faire le bon choix entre sa passion pour le beau et dangereux Steven et l’amour fidèle que lui porte Laure.
Claire-Aurore Bartolo est issue de cette génération abreuvée des réflexions militantes féministes de ses aînées, notamment la suédoise Liv Strömquist dont elle adapte avec brio la bande dessinée éponyme. Vingt ans les séparent mais le même dessein les motive : éclairer, aider à mieux comprendre, avec la force de l’ironie et du second degré. Tambour battant, dans une ambiance de show TV, les cinq comédien·nes partagent leurs découvertes et font voler en éclats toutes les idées fausses.
Avec le soutien de la Ville de Pessac et de la métropole bordelaise.
Amphi 700
Dans le cadre du festival L’Esprit du piano, l'université reçoit Lutxi Nesprias. Originaire du pays basque, elle étudie le piano avec Ada Labèque et Germaine Devèze avant d’entrer au Conservatoire à rayonnement régional rue de Madrid à Paris dans la classe de Brigitte Boutinon Dumas. Premier prix au concours de piano Claude Kahn, deuxième prix au concours international de piano de San Sébastien, prix de la Musique Romantique au festival de Tel Aviv, elle est admise en 2004 dans la classe de Jacques Rouvier au Conservatoire National de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) où elle obtient son premier prix de piano mention très bien.
Durée : 1h.
Salle de spectacle Maison des arts
Par la cie du Dernier Strapontin.
Dans le cadre du projet «Résonnances mémorielles», volet culturel du colloque international «Les marques de la mémoire dans le paysage urbain des espaces francophones». Les archives sont au cœur de la création. Les documents exhumés sont techniques et administratifs. Ils nient l’humanité de l’esclave sans invective raciste parce que ce n’est pas la question. Ce qui compte, c’est le développement des colonies, la nécessité d’une main d’œuvre abondante, la croissance de la ville. Jusqu’à quel point réduire la réalité complexe des échanges humains à la problématique économique ? Nous avons décidé de faire de ce thème le point de départ de Lieu de Mémoires.
Salle de spectacle Maison des arts
Par la cie La Machine à Pingouins.
L’interprète/auteur/metteur en scène nous offre un voyage gustatif et émotionnel au cœur de sa ville natale : Monterrey. Une histoire touchante et humoristique teintée d’autodérision et d’humilité.
Durée : 1h.
Salle de spectacle Maison des arts
Live est un concert-performance écrit et interprété par l’auteurecompositeure-interprètecomédienne-metteuse-en-scènepianiste-guitariste-flûtiste-danseuseéclairagiste Stéphanie Aflalo. Transformée pour l’occasion en bêtede-scène-totale, prête à tout pour combler celles et ceux qui sont venu·e·s la voir, l’artiste invite les spectateur·rice·s à rejouer à tous les jeux auxquels jouent chaque soir chaque star et chaque public dans chaque Zénith, à commencer par le jeu de l’insoutenable attente de la vedette au début du concert – où le but est d’assoiffer la foule de sa présence jusqu’au délire.
Durée : 1h. En partenariat avec La Manufacture CDNC ; Nouvelle-Aquitaine Bordeaux ; La Rochelle.
Salle de spectacle Maison des arts
La création Mordiable prend racine sous le règne d’une des femmes politiques les plus puissantes et controversées de son époque : Aliénor, duchesse d’Aquitaine, successivement reine de France et reine d’Angleterre se trouve prisonnière d’un mariage malheureux avec Louis VII, dit Le Pieu. Après quinze ans de vie commune, elle est la première femme de l’Histoire occidentale à demander le divorce au Pape…et à l’obtenir.
Notre histoire commence le jour-même de ses nouvelles épousailles. Sans avoir demandé l’avis de leur suzerain, Henri Plantagenêt, futur roi d’Angleterre et Aliénor s’apprêtent à se marier. Au dernier moment, elle refuse sa main et s’enfuit. Elle entreprend alors un voyage initiatique.
Sortie de résidence : 13 janvier, 18h30, salle de spectacle Maison des arts. Durée : environ 1h.
Salle de spectacle Maison des arts
Par Bérénice Hamidi et Gaëlle Marti (conception, écriture et mise en scène).
Une scène de séduction sans conséquence ou l’esthétisation d’un viol ni plus ni moins ? En 2017, la mise au programme de l’agrégation de Lettres Modernes d’un poème d’André Chénier avait suscité de vives réactions des féministes et une controverse médiatique. Bérénice Hamidi et Gaëlle Marti s’en emparent et imaginent un spectacle atypique et participatif sous forme de procès. La scène devient une agora animée par des juristes spécialistes des violences sexuelles, des expertes littéraires et les acteur·ices Adèle Gascuel et Éric Massé.
Durée : 1h40.
Salle à confirmer
Par Betty Tchomanga, cie Lola Gatt.
Avec la série chorégraphique Histoire(s) Décoloniale(s), Betty Tchomanga poursuit un travail autour des récits et des histoires qui relient l’Occident et l’Afrique. Chaque épisode aborde l’histoire coloniale et son héritage par le prisme d’une histoire singulière, d’un corps, d’un vécu.
Histoire(s) Décoloniale(s) #Folly s’appuie sur la tradition orale des récits contés sous forme de paraboles. L’écriture chorégraphique de ce portrait s’appuie sur des rythmes et danses traditionnels provenant du Bénin, du Togo et du Ghana. Avec pour seul instrument sa voix et les frappes de ses pieds, Folly fait resurgir les danses qui l’habitent.
Durée : environ 35 minutes + 20 minutes d'échanges
Le Royal (Pessac) - Navette gratuite pour les étudiant·es depuis l’université.
Par la cie Koimeté.
Texte d’Esteban Okbi, lauréat d’ARTCENA pour l’aide à la création d’un texte dramatique.
C’est l’effervescence dans la cité Coraline. Les pitbulls l’ont senti avant tout le monde. Dans quelques jours, une Google Car viendra chez eux pour tout cartographier, réduire les espaces et la vie des habitant.es à l’état de données. Côté bike-life la résistance s’organise. Le plan est simple : chasser cette caisse, filmer ça, faire le buzz et gratter un billet au passage pour pouvoir s’arracher d’ici. Du hall d’entrée jusqu’au toit, d’un appartement à l’autre, les fragments de vie s’additionnent, se superposent et finissent par recomposer l’itinéraire de cette journée inflammable.
Durée : 1h30. En partenariat avec la Ville de Pessac.
Au Glob Théâtre (Bordeaux)
Le Glob Théâtre crée ce festival consacré au répertoire théâtral féminin : cultivons notre matrimoine ! Il s’agit alors de redécouvrir ces œuvres, de les rendre à nouveau visibles et de les intégrer à notre héritage universel. Il devient urgent de rendre aux autrices du temps jadis la place qu’elles auraient dû avoir si l’Histoire n’avait pas été écrite au fameux masculin qui l’emporte.
Auditorium de la maison des étudiant·es.
Par la cie L'Ouvrage.
C’est un rendez-vous. La parole de Gisèle Halimi interpelle le public : souvenirs d’enfance, interviews, plaidoiries s’entrecroisent comme un condensé de ses combats. Petite fille insoumise au patriarcat tunisien, femme engagée dans la guerre d’Algérie, figure de la lutte pour les droits des femmes… Marie Ragu incarne l’avocate irrespectueuse avec fougue. Ce puissant solo appelle à maintenir éveillée la même vigilance pour les libertés, faisant résonner les combats d’hier avec ceux d’aujourd’hui.
Durée : 1h.
Salle de spectacles Maison des arts
Burnout d’Alexandra Badea explore les tensions du monde professionnel contemporain à travers la rencontre entre un évaluateur en ressources humaines et une jeune cadre ambitieuse.
La pièce dévoile les névroses nées de la quête obsessionnelle de productivité, montrant comment le discours politique sur la valeur du travail peut mener à un épuisement professionnel fatal.
La compagnie s’intéresse aux notions d’épuisement, de transformation, d’emprisonnement et défend la recherche d’un art pluridisciplinaire qui affirme la nécessité de porter un regard critique sur notre société sans tomber dans une vision moralisatrice.
Sortie de résidence : 10 mars, 18h30, salle de spectacle Maison des arts.
Auditorium de la maison des étudiant·es.
Par la cie En Carton.
Chronique, adjectif : se dit d’une maladie qui s’installe lentement mais, le plus souvent, définitivement. Chronique, nom féminin : récit d’événements réels ou imaginaires qui suit l’ordre du temps. Dans les différents épisodes de Chronique(s), Marie et son complice Régis tissent les fils de la maladie et du théâtre pour raconter l’expérience de grandir et de vivre avec une maladie chronique invisible dans les années 1990-2020.
Après avoir présenté l’épisode 1 Les reins c’est comme les passoires, Marie Astier revient à l’université pour jouer les quatre épisodes de Chronique(s).
Deux épisodes par soir. Durée : environ 40 minutes par épisode.
Université Bordeaux Montaigne et différents lieux de la métropole
La 18e édition du festival est dédiée aux décryptages géo-cinématographiques se tiendra du lundi 24 mars au jeudi 27 mars 2025 entre le cinéma Utopia (Bordeaux), le campus de l’Université Bordeaux Montaigne et à l’UMR Passages dans la Maison des Suds (Pessac). Cette édition oeuvres de fiction - films, animation, bandedessinée et photographies, est portée par un collectif de 15 personnes, étudiant·es géographes, enseignant·es-chercheur·es géographes de l’Université Bordeaux Montaigne, de Paris 1 Panthéon La Sorbonne, membres de l’UMR Passages et professeur·es d’histoire-géographie.
Extérieur de la Maison des arts
Bienvenue dans le Ssssssswell ! Une expérience communautaire pleinement harmonisante et à haute valeur critique. Le bien-être vous apparait-il comme une promesse ou comme une injonction ? Un spectacle participatif en mode workshop décalé équipé de casques silent disco pour déjouer les postures et les idées préconçues que sous-tendent les pratiques de corps. Du yoga au dance floor en passant par la gymnastique holistique, sur de la techno-kitch, le ssssssswell vous embarque dans l’idéologie du burlesque somatique ! Enfilez vos leggings et chaussez vos baskets !
Durée : 1h20.
Université Bordeaux Montaigne
Lézardantes, c’est le festival de la pratique amateure de l’Université Bordeaux Montaigne. Créé et mis en place par le Service culture, il met à l’honneur l’art, le plaisir et la détente ! Vous êtes invité·es à découvrir le travail réalisé par les étudiant·es et le personnel de l’université qui participent aux ateliers de pratique artistique et à vous essayer à de nouvelles disciplines. C’est aussi l’occasion de se détendre avec un massage ou une lecture sur transat !
Les Dolphin Apocalypse, meilleure équipe de natation synchronisée de toute la Charente-Maritime, sont bien déterminées à traverser les États-Unis pour accomplir une mission ultra urgente et méga secrète. À bord de leur super bagnole américaine, leur périple prend des allures de road trip, de western et même de cavale. Si seulement leur voiture ne les lâche pas au beau milieu du désert aride. Elles l’ignorent encore, mais elles sont les personnes les plus recherchées du pays.
Les Thelma et Louise de la natation synchronisée parviendront-elles à rejoindre la West Coast à temps, et sans (trop) d’encombres ?
Première représentation le 22 mai, heure et lieu à confirmer.
Université Bordeaux Montaigne
Planches, le festival étudiant international d’arts vivants de l’Université Bordeaux Montaigne réunit pour la troisième année consécutive des troupes étudiantes venues d’universités françaises et étrangères ! Sur plusieurs jours, les arts vivants et les langues sont célébrées autour de pièces de théâtre, de performances et de spectacle de danse.
En 2022 et 2023, l’université a déjà reçu des étudiant·es d’Espagne, d’Italie, du Maroc, d’Écosse, de Bosnie-Herzégovine, de Poitiers et de Bordeaux.
Toutes les informations d'inscription seront disponibles prochainement, pour les étudiant·es, les personnel·les de l'université ainsi que pour les publics extérieurs.
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