Des échanges épistolaires à la diffusion en ligne globalisée, le chercheur, au-delà de communiquer ses résultats a toujours dû mettre en avant sa personne pour continuer ses recherches. Il semble que le chercheur doive désormais veiller davantage à sa marque de fabrique que constitue sa signature, ce qui l'entraîne dans des stratégies d'intelligence personnelle au sens d'intelligence économique ou territoriale. En effet, ce dernier travaille davantage en réseau au point que désormais nous pouvons parler de science réticulaire qui opère en liaison. Faut-il pour autant parler de « chercheur 2.0 » ?
Gabriel Gallezot, Olivier Le Deuff. Chercheurs 2.0 ?. Les Cahiers du numérique, 2009, 5 (2), pp.15-32. ⟨sic_00396278⟩ - lien externe
Citations
Gallezot, G., & Le Deuff, O. (2009). Chercheurs 2.0 ? In Les Cahiers du numérique. https://archivesic.ccsd.cnrs.fr/sic_00396278v1
Gallezot, Gabriel, and Olivier Le Deuff. “Chercheurs 2.0 ?” Les Cahiers Du Numérique, June 2009, https://archivesic.ccsd.cnrs.fr/sic_00396278v1.
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GALLEZOT, Gabriel and LE DEUFF, Olivier, 2009. Chercheurs 2.0 ? [en ligne]. June 2009. Disponible à l'adresse : https://archivesic.ccsd.cnrs.fr/sic_00396278v1