Le but de cet article est de montrer que les mnémotechniques de l'internet constituent des hypomnemata, en tant que mémoire extériorisée selon la définition de Bernard Stiegler. Nous étudions plus particulièrement les signets sociaux avec l'exemple de la plateforme Diigo que nous avons analysée avec une enquête en ligne auprès d'usagers. Nous montrons que ces dispositifs présentent des intérêts autant individuels que collectifs en tant qu'écritures de soi. Ils nécessitent souvent une culture technique et une formation préalable malgré leur simplicité apparente du fait notamment des risques de captation de mémoire.
Olivier Le Deuff. Quelles mnémotechniques pour l'Internet ?. MEI - Médiation et information, 2010, Mémoires et Internet, revue MEI, n° 32. Déc, p.41-51 (32-Mémoires et Internet), pp.41-51. ⟨sic_00629252⟩ - lien externe
Citations
Le Deuff, O. (2010). Quelles mnémotechniques pour l'Internet ? In MEI - Médiation et information. https://archivesic.ccsd.cnrs.fr/sic_00629252v1
Le Deuff, Olivier. “Quelles Mnémotechniques Pour l'Internet ?” MEI - Médiation Et Information, Dec. 2010, https://archivesic.ccsd.cnrs.fr/sic_00629252v1.
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LE DEUFF, Olivier, 2010. Quelles mnémotechniques pour l'Internet ? [en ligne]. December 2010. Disponible à l'adresse : https://archivesic.ccsd.cnrs.fr/sic_00629252v1